Hope

« Rebellions are built on Hope »

La Brune émergea d’un sommeil sans rêve, dur et comateux. A chaque mouvement de tête, elle se demandait si son cerveau ne s’était pas détaché tant il cognait contre les parois de sa boite crânienne. Un rapide coup d’œil dans le miroir confirma ses doutes, le mal de crâne, les yeux bouffis, la bouche pâteuse, les carottes dans les cheveux, la Brune allait subir les affres de la gueule de bois. Elle tenta de se remémorer la soirée de la veille mais…

« Rebellions are built on Hope »

La Brune se figea en un instant. La surprise de cette voix dans sa chambre finit de la réveiller. Mais était-elle bien dans sa chambre ? « Il fait froid, le sol est froid, pas de doute, je suis chez moi. Sauf que… Sauf que le sol est en métal et non en bois. Ok pas de panique, je ne suis pas chez moi, je ne me souviens pas de la soirée, y’a vraiment pas de quoi paniquer. »

« Rebellions are built on Hope »

Le dernier mot résonna dans la pièce pendant de longues secondes quand une porte s’ouvrit, permettant ainsi d’amener un peu de lumière dans cet endroit sombre.

« Qui êtes vous ? C’est vous qu’on entend répéter la mêm… »

« Rebellions are built on Hope » serina le personne qui venait d’avancer dans la pièce.

« Ouais, du coup c’est vous quoi. »

Après quelques instants où la Brune refaisait la mise au point, son regard se posa sur l’inconnue qu’elle avait devant elle. Un soulagement l’envahit et elle se détendit d’un coup.

« Aaaaah mais c’est vous ? Vous êtes la princesse Leia ? AAAAAh mais ça va beaucoup mieux. Moi qui pensais avoir été kidnappée, j’me rends compte qu’en fait, j’ai juste tourné la carte. Tout ça c’est dans ma tête ! OUF ! »

La princesse Leia, de plus en plus déconcertée, prit la parole : « je ne vois pas en quoi c’est rassurant ? Tu parles à un personnage fictif dont l’interprète est décédée il y a un mois »

« Oui mais justement, ce n’est pas la première fois que ça m’arrive. La dernière fois, je discutais avec le Joker de Batman, joué par Heath Ledger, alors je commence à avoir l’habitude. »

« Ok, donc ça ne te pose aucun problème de vivre dans une dimension parallèle et de parler à tes amis imaginaires ? »

« Sans vouloir me justifier outre mesure, je ne suis pas la seule dans ce cas là. Tous les gens qui ont vu Rogue One sont comme moi. »

La princesse Leia médita quelques instants sur ces paroles et enchaina : « J’aimerai savoir ce que tu as pensé de Rogue One. »

La Brune admira la princesse en se demandant où elle voulait en venir. Ce personnage mythique était là devant elle, habillé d’une sorte de blouse blanche, arborant ces fameux macarons et elle attendait d’elle une analyse cinématographique.

« Euh ok, mais après vous m’expliquez ce que je fais là ? »

« Rebellions are built on Hope »

« Nan, sans rire, c’est carrément répétitif là. »

La Brune commença alors son monologue : « Rogue One : a Star Wars story est l’épisode 3,5 de la saga StarWars. C’est à dire qu’il se situe entre la vieille saga qui est l’histoire la plus récente et la moderne saga qui est l’histoire la plus ancienne. »

Leia dit alors « C’est vrai que ça n’a jamais été simple cette histoire, parce que Georges a toujours été… »

La Brune lui coupa la parole : « C’est moi qui raconte ou c’est vous ? Bien. Le scénario de cette histoire est plutôt simple mais essentiel, il raconte l’histoire d’un groupe de Rebelles qui part à la recherche des plans de l’Etoile Noire pour pouvoir la détruire et sauver la galaxie. Ce film suit donc les pérégrinations de ce petit groupe de rebelles prêts à mettre leur vie en péril pour récupérer ces plans ainsi que leurs homologues de l’empire qui font tout pour empêcher leur plan d’aboutir. »

« Ca ne nous dit pas si tu as aimé ? Pour l’instant c’est un résumé plutôt froid de la situation. »

La Brune s’agaçait de plus en plus du comportement de Leia.

« Je sais, mais avant de pouvoir se lâcher, il faut poser les bases.

Cet opus est un spin-off parce qu’il se regarde seul et n’appartient à aucune saga.

Dire que j’ai aimé serait tellement en dessous de la vérité, que je ne peux pas laisser faire ça. J’ai adoré et j’ai une véritable vénération pour Gareth Edwards. Je le considère comme le Nolan de StarWars. Quand les trois Batman de Nolan sont sortis, ils ont créé la surprise tant ils étaient réalistes et noirs. Ils en étaient même flippant (surtout le deux, avec le Joker) tellement ils ‘faisaient vrais’. Nolan a transfiguré Batman pour le rendre réaliste. Edwards a fait exactement pareil avec StarWars. Il l’a rendu réel et accessible. Les effets spéciaux sont terriblement bien fait, beaucoup moins de numériques que dans la saga ‘préquel’, bref un rendu analogique qui claque et qui accentue le côté réel. Un bel effet spécial se doit d’être subtil, ce qui n’est pas tout le temps le cas dans Rogue One, mais les différentes planètes et populations font ‘vraies ». Les personnages principaux, Jyn et Cassian sont vrais également, ils sont torturés, passionnés et humains putain ! »

« Je t’en prie, pas de vulgarité, jeune fille. »

La Brune interloquée par cette intervention jeta un œil gêné à la Princesse. Sans savoir pourquoi, l’apparence de la Princesse semblait avoir changé, ces macarons avaient laissé place à une coupe courte et des cheveux blancs et raides. Leia rompit le silence : « bon bah, on va pas se regarder en chien de faïence toute la nuit, non ? »

« Euh, non non, je continue.

Les personnages secondaires bien que, plus clichés que les principaux sont tout à fait à leur place. Malgré le fait que l’issue de cette aventure soit connue, on accroche très rapidement et on est emporté par ces personnages. La dernière moitié du film est juste un chef d’œuvre d’action qui ravit les afficionados de StarWars ainsi que les néophytes. J’ai eu un coup de cœur pour le personnage de Cassian Andor, joué par Diego Luna. Je ne connaissais pas cet acteur et je rectifie le tir dès à présent. Ce type est un acteur à suivre de toute urgence. Grâce à StarWars et Gareth Edwards, il a notamment permis de faire passer un personnage hispanique au premier plan en évitant tous les clichés du genre. Dans un pays où le président souhaite construire un mur entre lui et le Mexique, Diego Luna lui répond que la diversité est la richesse des États-Unis. Je rajouterai que la diversité est la richesse de ce Rogue One.

Bref, cessons les digressions : Ce film est juste trop bien ! »

« Si c’est trop c’est que c’est négatif, non ? Il faudrait en enlever ? »

La Brune resta bouche-bée devant Leia, puis reprit un peu de contenance :

« Bien sur que non, tout est parfait, il ne faut rien enlever. Qu’est ce que c’est que ces réflexions de vieux ? Bref, passons à la musique. J’ai vu plusieurs critiques de Rogue One qui parlait de l’absence totale d’originalité de la bande originale… Pardon, mais ces gens là, ont de la merde dans les oreilles ! »

« Mange ! »

« Pardon ?»

« Oui, quand j’entends ‘merde’, je dis ‘mange’ ! Ca te choque ? »

« Non mais la seule personne que j’ai entendu dire ça, c’est… »

Leia lui coupa de nouveau la parole : « donc la musique ? »

« Oui oui, euh… La musique est formidable dans ce film. Le thème est légèrement différent de l’original de StarWars et c’est normal puisque ce film ne rentre dans aucune case. Je salue bien bas, le travail conjoint de Michael Giacchino et d’Alexandre Desplat qui ont réussi à créer un thème si proche de l’original et si différent qu’on le reconnait immédiatement.

Première musique à écouter : Trust goes both ways

https://www.youtube.com/watch?v=DaEJU2wqvZQ

Les trailers sont dotés des meilleurs musiques. Ces thèmes sont juste originaux et fantastiques.

Bref, cette musique ne me quitte pas depuis que j’ai vu le film au ciné. Elle est belle et elle m’emporte automatiquement dans des galaxies lointaines, très lointaines, alors même que je me trouve sur la ligne 6 du métro à Denfert-Rochereau. Le thème de ce film est l’espoir qui est grandement bien incarnée par la musique plus que par les faits. Ce film est résolument épique mais tragique alors que la musique nous transporte dans une dimension parallèle où l’espoir règne en maitre. C’est ce que je trouve le plus fort dans Rogue One, tout ce que l’on voit est tragique mais on garde espoir ? Comment ? Grâce à vous ! »

« Ah, c’est mon tour, alors ? », Leia se releva avec mal de son siège et claudiqua jusqu’à l’autre bout de la pièce. La brune ne se rappelait pas avoir vu Leia boiter jusqu’ici. La princesse trouva un fauteuil noir anthracite et s’installa confortablement dedans. Qu’est ce que tu penses de moi ? »

La Brune ne réfléchit pas bien longtemps avant de dire : « ce que je pense de vous ? Vous êtes une guerrière, vous êtes la première femme forte que j’ai vue au cinéma. Vous n’êtes pas une demoiselle en détresse. Vous êtes l’espoir. Le combat. Vous êtes mon héroïne. Quand je vous ai vu à la fin de Rogue One, j’ai pleuré. Parce que j’ai vu le film quelques jours après votre décès et que vous incarnez tout ce que j’aimerai être. »

La brune leva les yeux vers le fauteuil. Leia n’était plus là. La Brune ne se trouvait d’ailleurs plus dans la chambre d’un vaisseau rebelle mais dans une petite maison, en Bretagne.

« Mamie ? »

« Qu’est ce que tu penses de moi, ma poule ? »

« Ce que je pense de toi ? Tu es une guerrière, Avec maman, tu es la première femme forte que j’ai rencontrée. Tu n’as jamais été une demoiselle en détresse. Tu étais l’espoir. Le combat. Tu es mon héroïne. Quand je t’ai vu en Bretagne, j’ai pleuré. Parce que la dernière fois que je t’ai vu, tu étais partie et que tu incarnes tout ce que j’aimerai être. »

« Tu sais que je ne suis qu’une projection de ton cerveau, ma chérie ? »

« Oui je sais et je me rends compte que je t’ai inconsciemment liée à la princesse Leia. Je sais que tu ne sais pas qui c’est, parce que tu étais hermétique à toute chose parlant anglais. Mais c’est ton homologue de l’espace. Forte, belle, intelligente. Carrie Fisher va me manquer, mais toi tu m’as fait un trou dans le cœur quand tu es partie. »

« Nan ma poule, c’est loin du cœur. »


La Brune s’éveilla douloureusement ce matin là. Vaqua à ses occupations. Quand elle eu quelques minutes de répit, elle songea sérieusement à appeler sa mamie pour lui raconter sa vie. Une seconde plus tard, elle réalisa qu’elle ne pouvait pas et qu’elle ne pourrait plus le faire.

La Brune eut un léger rictus amer : « C’est loin du cœur ? Nan, c’est pile dedans et ça fait putain de mal ! »

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Carrie Fisher          21/10/56 – 27/12/16

mamiiie

Suzanne Le Bot     12/12/26 – 01/12/16

Top Five Movie Addiction // Mes héros de quand je faisais 1m20 les bras levés !

Bonjour à tous en ce samedi de TFMA !
Aujourd’hui nous parlons de nos héros – enfants/ados que nous préférons ! J’préfère vous prévenir, les deux premiers ne sont pas exactement des enfants ou ados, mais après tout, c’est moi qui commande ! ^^
5 – Ace Ventura
Bon, OK ! Ce n’est pas un enfant ni un ado mais admettez quand même que Ace Ventura est un adulte avec l’âge mental d’un enfant de 2 ans, du coup, ça compte ? 
4 – Bernard et Bianca
Comme je vous l’avais dit, ce ne sont pas des enfants, mais ils aident les enfants ! Là aussi, ça devrait compter ! ^^ Nan, sans rigoler ces deux petites souris sont de vraies héroïnes. Elles ont tout à fait leur place dans ce Top Five !
3 – Patrick Verona
Le mec ‘hachement trop mignon du film « dix bonnes raisons de te larguer » ! Un de mes classiques car Heath Ledger jouait dans ce film.

2 – Molly Singer
Molly Singer (alias Tina Majorino) est la fille de Manny Singer (Ray Liotta). Cette petite fille qui vient de perdre sa maman (et sa voix par la même occasion, va être sous la garde de Corrina Washington (Whoopi Goldberg). Cette petite fille est vraiment touchante et rigolote à la fois. Exactement comme le film !

1 – Jesse 
Jesse, quoi ! ^^ Mon personnage préféré de quand j’avais entre 12 et 15 ans ! Et en fait encore maintenant…
OUI, j’adooooooooore Sauvez Willy ! 
Bonne semaine les p’tits choux ! 
Carooo

Ladyhawke, la femme de la nuit – 4/5

Oyez Oyez braves gens !

Aujourd’hui nous allons parler d’un film qui est sorti 2 ans avant ma naissance, soit en 1985. Et là vous vous dites, mais qu’est ce qu’elle est douée en calcul ! Hallucinante, cette nana ! Elle a tout pour elle !… Mais je crois que je m’égare, là.
Bref, aujourd’hui nous parlons donc, de Ladyhawke, autrement appelé « la femme de la nuit ». C’est un film que j’ai vu pour la première fois, quand j’étais toute petite et que je n’ai cessé de voir par la suite. C’est évidemment mon père qui me l’a montré, comme toujours ! Merci Papounet ! ^^



Ce film raconte l’histoire d’amour d’Etienne de Navarre (Rutger Hauer) et d’Isabeau d’Anjou (Michelle Pfeiffer). Dit comme ça, on se dit qu’il s’agit d’une histoire d’amour lambda au temps du moyen age. Or il s’agit d’une histoire d’amour maudite. Un évêque rendu fou de jalousie par leur jolie histoire a décidé de les maudire. C’est ainsi qu’Etienne passe la journée sur deux jambes et la nuit à 4 pattes. Noooon… il ne picole pas. Il se transforme en loup ! Vous êtes lourds ! Je ne suis pas en train de vous raconter un épisode de Confessions Intimes, nanmého ! Bref, Isabeau quand à elle, est une femme la nuit et se transforme en faucon dès que les premiers rayons du soleil apparaissent. 
Etienne, bien décidé à rompre cette malédiction, fait équipe avec un jeune voleur, Phillippe Gaston (Matthew Broderick) pour retrouver l’Evêque et l’envoyer jouer au tarot en enfer…

Je pense qu’avant d’aller plus loin, il faudrait débriefer 5 min sur les noms et prénoms des personnages dans ce film. Je trouve qu’entre Etienne, Isabeau et Phillipe Gaston, les pauvres héros ne sont pas aidés… Je suis même persuadée que si ils leurs arrivent autant de malheurs en 2h, c’est quasiment uniquement à cause de leur noms… Mais bon, le scénariste a préféré dire que c’était plutôt une histoire d’amour maudite… Chacun sa version des faits, passons.

J’ai adoré ce film dès la première fois où je l’ai vu et à chaque fois que je le revois, je l’aime encore plus. 
En toute honnêteté, je pense que si quelqu’un qui ne l’a pas encore vu, le voyait à notre époque pour la toute première fois, je ne suis pas sure qu’il aimerait. Les effets spéciaux sont « cheap », l’histoire est un peu capilotractée et la musique fait très années 80, on y reviendra d’ailleurs.
En gros, je ne le vois pas vieillir car je garde l’image magique de ce film de fin des années 80, début 90. Du coup, il ne vieillira jamais pour moi !

Les trois acteurs principaux sont vraiment très bien dans ce film. C’est d’ailleurs, là que Matthew Broderick s’est fait connaitre. Michelle Pfeiffer est excellente ainsi que Rutger Hauer, qui sont pourtant de très jeunes acteurs dans ce film.

Et enfin, ce film est également une pure merveille de musique. Le groupe Alan Parsons Project, que j’adore, s’est occupé de la bande son du film. Cela donne une dimension très moderne au film. En effet, il s’agit d’un film d’époque moyen-âgeuse sur fond de musique presque « électro/pop » des années 80. Sans la musique, ce film perdrait beaucoup de son charme. Disons que quand mon père le regarde, je reconnais plus rapidement la musique que les images. 



Donc, pour résumer ce film est une merveille de la fin des années 80. A voir, à re-voir, à re-re-voir, à re-re-re-voir, enfin, bref vous avez compris ! 

Les Cinq Légendes, 5/5

La période de Noël est bien connue dans les cinémas. On a forcément un dessin animé / film d’animation « made in Disney » et des films à gros budget qui ne font pas grands bruits. Et puis des fois, on a un film d’animation Dreamworks qui s’y rajoute. Cette année encore, cela n’a pas loupé : Jack Reacher, film à gros budget qui n’a pas fait grand bruit, Les mondes de Ralph, film d’animation Disney et Les Cinq Légendes.
De ces trois films classiques en période de Noël, 2 ont retenu mon attention, un seul sera détaillé ici… Aujourd’hui, nous allons donc parlé …. Des Cinq Légendes !
Quoi ? Quoi ? Oui j’aime faire durer le suspens même quand cela ne sert à rien, c’est encore moi la patronne, non ? ^^
Bref, comme je le disais, ce film d’animation est tout droit sorti des studios Dreamworks (notons que Dragons sortait également de ce studio, c’est un bon départ).  


Ce film raconte l’histoire de quatre gardiens dont le seul but est de protéger l’innocence, l’émerveillement et les rêves des enfants : Nord Le Père Noël, qui a un accent russe à couper au couteau ; Bunny, le Lapin de Pâques, qui ressemble à Rambo avec deux grandes oreilles ;  la Fée (-tichiste) des Dents et bien sur Sab, le Marchand de Sable, qui visiblement a divorcé d’avec Nounours.



Et là si vous avez bien suivi, vous êtes surement en train de vous dire, mais elle a encore picolé, elle nous dit qu’il y a 5 légendes et elle n’en présente que 4…
Comme vous êtes impatients ! J’allais y venir !
Le truc c’est que, tout allait très bien dans le meilleur des mondes des gardiens quand Pitch, le Croc-Mitaine (il faudra d’ailleurs qu’on débriffe sur ce nom très rigolo pour un super-méchant) est revenu pour terrifier les enfants et s’arranger pour que ces-derniers ne croient plus en rien… Machiavélique à souhait, non ?



Les quatre gardiens se réunissent en conseil de guerre quand tout à coup, l’Homme de la Lune apparait et leurs désigne un nouveau gardien, Jack Frost (j’ai vérifié, aucun lien de parenté avec Frosty The Snowman). Jack Frost est un ado complètement givré (oui je sais, c’est faible) qui est doté d’un pouvoir étrange par rapport à ceux des autres : il fait tombé la neige, entre autre. Il ne pense qu’à s’amuser et ne se soucie de rien, ni de personne. La seule chose qui fout les boules à Jack La main Froide, c’est qu’il est invisible…. Les enfants ne le voient pas car ils ne croient pas en lui, ce qui le déprime considérablement. 



Tout ça pour dire que, Jack ne se sent absolument pas concerné par le problème « Pitch, terroriseur d’enfants ». Et pourtant, il va finir par les aider en échange de….
Héhé, il n’y a pas marqué la Knout se fait des spoilers, non plus ! Pour le reste, allez le voir !
C’est un film que j’ai évidemment adoré et tellement adoré que je l’ai vu 3 fois, dont 2 fois dans la même journée (vive les pass-ciné-illimité !). Ce film d’animation est super bien fait même si ça reste toujours limite pour la 3D. Je n’en ai pas vu l’utilité. La musique est magique et l’histoire bien que très enfantine, est traitée de manière très sérieuse. C’est-à-dire que quand on a gardé une âme d’enfant comme moi, on se prend au jeu. De plus, le méchant de l’histoire, qui me fait sérieusement pensé à Arès dans Hercule, est vraiment flippant : la voix, la tenue, les actions… Je pense que cela a du effrayer plus d’un enfant. D’un autre coté, au cours du film, on découvre l’univers de chacun des gardiens. C’est comme ça qu’on apprend que ce ne sont pas les lutins qui fabriquent les cadeaux mais les Yéti… Que le Père Noël est couvert de tatouages (^^) dont un « Naughty » et un « Nice », que Bunny, est un gros dur au cœur tendre et la Fée des dents ne conservent pas que les dents, mais également, les souvenirs qu’elles renferment !
Pour finir, ce film d’animation est un vrai bijou, rempli de couleur, d’humour et d’action.
Un p’tit bonus ?

 

Terminator II – 5/5

Oyez, oyez !

Cette semaine, ce n’est pas votre écrivain habituel qui vous écrit ces quelques mots, mais son petit frère, eh oui ici, c’est piston et compagnie. 

Alors comme vous avez pu le comprendre, chez nous le cinéma est une question de famille, nous avons été élevé à coup de   « qu’on me refoute au frigo », ou bien encore « Sarah Connors ? », et encore « je suis l’aigle de la route !!! » et j’en passe. Je ne connais surement pas grand-chose aux tableaux expressionnistes allemands, mais je peux me vanter d’avoir été éduqué dans une famille où la VHS puis ensuite le DVD était comme un être à part entière. Aujourd’hui je vais vous parler d’un film qui a traversé les âges et les cultures pour être encore maintenant un film culte, Terminator 2.


Pour résumer, c’est l’histoire d’une machine super développée qui vient du futur, nommée T-800. Cette, dite, machine est là pour protéger John Connors et Sarah Connors (dans cette opus, car dans le premier il était chargé de les tuer) contre un autre robot encore plus développé et encore plus « vénère » en métal liquide nommé T-1000. J’ai choisi ce film car aussi loin que je remonte, ce film est mon premier souvenir cinématographique, il est pour moi le meilleur des 4. Ce film est inclassable, car il à été réalisé dans les années 90, mais il n’est pas de la même trempe qu’un Die-Hard, Demolition Man, ou encore Judge Dredd, son scénario est un poil plus détaillé, et il n’y a pas assez de blague pour être comparé à John McClane. J’ai « surkiffé » le film grâce à sa bande sonore, je pense que tout le monde se souvient de la musique de Terminator 2, malheureusement, par écrit cela est impossible retranscrire à moins que j’apprenne le solfège juste pour ça, mais là on rentre dans quelque chose de compliqué.
Il est resté dans les mémoires lui aussi grâce à des répliques cultes, je vous ai fait une petite sélection :
« John Connors : Argent facile (en piratant un guichet bancaire) »
« T-800 : Reste cool, sac à merde ! »
« T-800 : J’ai besoin de vacance (dit-il alors qu’il lui manque une partie du crâne et un bras)  »
« T-800 : Hasta la vista baby ! »
Voila, c’est ici que s’arrête ma première critique de film, et je conclurais avec LA phrase de Shwarzy (en anglais car c’est plus classe) : « I will be back »

Nicooo

La petite sirène – 5/5

“Femme sirène ? Femme humaine ?” 
Vous avez 4h pour répondre à cet épineux problème.
Et interdit de me répondre : “bah comme Ariel, un peu des deux !”
La petite sirène est mon dessin animé Disney préféré ! Depuis que je suis toute petite, c’est mon préféré et pourtant j’aime quasi tout les disney ! C’est diiiiiiiire combien je l’aime celui là !
Bref c’est l’histoire d’une famille de sirènes, famille mono-parentale visiblement puisque l’on dénombre un papa sirène et 7 filles sirènes !
Ariel, la petite dernière de la famille, rêve d’évasion, d’une nouvelle vie, de jambes. Oui cette petite sirène n’est pas comme les autres, elle rêve d’avoir des jambes et d’appartenir à la race humaine ! Et cela depuis qu’elle a sauvé de la noyade un beauuuuu marin, le prince Eric.
Mais son papounet (Le roi Triton, de son nom civil) n’est pas du tout d’accord. Du coup, Ariel qui fait clairement une crise d’ado, va voir Ursula la méchante sorcière pour obtenir ses précieuses jambes. Ursula accepte en contre-partie de la “voix d’Ariel”. J’ai beau aimé ce dessin animé, je trouve que ce deal est plutôt bizarre ! Je te donne des jambes, tu me donnes ta voix ! Heureusement qu’elle ne voulait pas de nouveaux bras ! Et ben en échange je te prends tes yeux ! C’est ok ?
Bref, Ariel a trois jours pour se faire aimer de son Prince en étant muette comme une carpe.
Il y a beaucoup trop de suspens dans ce film mais je ne vous raconte pas la fin, on ne sait jamais pour les 2 ou 3 qui ne l’auraient pas encore vu. 
Bon du coup, les dessins sont géniaux, les personnages aussi, la musique elle reste dans la tête et l’histoire est fun. Mention spéciale pour le crabe Sébastien et le cuisto Luigi !
Ce dessin animé est vraiment tout public, et quand je dis tout public, j’entends par là, mon Père !
“-Hey Papaaaaaa, on regarde un film et c’est moi qui choisit, d’accord ?
– euhhh ouais, j’suis pas sur là.
– allez ! On met la Petite Sirène !
– oooohhhhh non, pas ça…
– mais allez tu vas voir, ça va être fun !
– pfffff, bon d’accord… (petit rictus indiquant qu’il valide mon choix et que OUI, ça va être fun mais qu’il ne faut pas trop le montrer, parce que.. bon et franchement… voilà)”

Dirty Dancing – 5/5

“Be me, be my baby
Be my litlle baby
My one and only baby
Say you’ll be my darling
Be my, be my baby
Be my baby now
My one and only baby
wa oh oh oh
I’ll make you happy, baby
Just wait and see
For every kiss you give me
I’ll give you three
Oh, since the day I saw you
I have been waiting for you
You know I will adore you
Till eternity so won’t you please”

Dirty Dancing, avant d’être un film de fillasse, c’est un film avec une bande son de fou ! Toutes les musiques sont cultes et géniales !
Donc l’histoire est plutôt simple, une famille aisée vient passer ses vacances dans un centre 12 étoiles (à peu près, quoi !). La petite dernière de la famille renommée Bébé, va faire ami-ami avec le personnel du centre et notamment Johnny Castle, le responsable des danses. Parce que dans ce centre, tout le personnel sait danser. Je pense, même, qu’ils ont été triés sur le volet ! Ils apprennent les danses de salon aux clients, et le soir, dansent, ensemble, des danses “sales” !
C’est alors que Bébé, fascinée par ces danseurs-nés, se met à la danse avec Johnny comme professeur. Et, biiiiiiiim, ils tombent amoureux…
Bref, cette histoire a beau être simple c’est l’une des plus belles histoires d’amour filmique ! C’est LE rôle de Patrick Swayze. Il s’est fait connaitre dans ce film où il joue très bien et est carrément canon. Petit bémol, il a une démarche super strange, genre mi-ours-mi-camionneur ! C’est dommage !
Ce film est drôle, attendrissant et groovy grâce à la BO et tout pleins de phrases très naïves !
Mais sinon, le réalisateur devrait penser au moment de la scène final à avertir les téléspectateurs que cette scène ne doit pas être reproduite et que ce genre de figures est réalisée avec des cascadeurs expérimentés ! Parce que sinon, bonjour les dégâts ! ^^
Bref, excellent film culte que j’ai du voir 200 fois au bas mot !
“On laisse pas Bébé dans un coin !”
“Ça c’est mon espace de danse, ça c’est ton espace de danse. Je n’envahis pas ton espace, tu n’envahis pas mon espace !”
“C’est pas un crime de porter des pastèques.”
“Va faire mousser ton spaghetti et laisse ça aux gros calibres !”
“Tu n’as pas besoin de courir le monde après ton destin comme un cheval sauvage” Prix de la naïveté 1987 !

Le fils à Jo – 4/5

Le fils à Jo ! ! ! !
C’était risqué comme titre ! Il y a pas mal de gens à qui ça peut faire saigner les oreilles ce genre de titre !
J’entends déjà les gens dirent : le fils DE Jo, bordel !
M’enfin heureusement, on ne s’arrête pas forcément au titre du film.
Donc c’est l’histoire de Jo Canavaro, interprété par Gerard Lanvin, qui vit rugby, qui mange rugby, dort rugby et élève son fils rugby. Enfin… son fils ne s’appelle pas rugby ! Vous imaginez ? euh non ce serait ridicule !
Bref, il s’agit de l’histoire de ce père célibataire un peu (beaucoup) bourru, qui élève son fils dans l’amour du rugby. Jo est toujours suivi de près par Pompom, son plus fidèle et dévoué ami. Le fils de/a Jo, Tom aime le rugby mais a comme un blocage quand son père est présent au match.
Ce film est un très bon film français ! Vraiment ! C’est drôle et parfois très émouvant. C’est un de ces films si bien accompagné par la musique !
Les personnages secondaires sont très présents et très bien définis dans le film, Pompom (Vincent Moscato) est juste magique et “Chinois” interprété par Olivier Marchal est vraiment drôle.
Ceci dit, je ne sais pas trop si les gens partagent mon sentiment. Quand j’ai été le voir au ciné avec une de mes meilleures amies, on s’est retrouvé devant un très bon film avec 15 personnes max ! Et surtout :  Personne ne rigolait ! Alors qu’il y avait des scènes à mourir de rire !
M’enfin, les gens sont tristes ! 
Tant pis pour eux, ils sont passés à coté d’un super film ! ! ! 
Allez ! c’est cadeau, c’est en bonus track, un petite citation :
“Des gars qui portent des cravates comme ça j’en connais que deux sortes : les cowboys et les pédés. T’es pas venu à cheval, toi !” Jo Canavaro

Sauvez Willy – 5/5

Sauvez Willy !!!!!!!! Ce film pour enfant a été et est toujours un de mes films préférés !
Dans le même temps, qui n’aime pas ce film ?
Jesse, un p’tit garçon d’une douzaine d’années tombant dans la délinquance juvénile est trimbalé de foyer d’adoption en foyer d’adoption après avoir été abandonné par sa mère. Un soir, Jesse et ses amis dégradent les bâtiments d’un parc animalier marin. Jesse est pris la main dans le sac et est contraint de réparer ses bétises. Il est employé par le parc pour nettoyer les murs dégradés. Parallèlement, il est accueilli dans une nouvelle famille d’adoption. Jesse fait alors la connaissance de Willy au parc animalier, une orque réputée méchante. Un soir, qu’il zonait le long du bassin de Willy, Jesse se cogne la tête et tombe évanoui dans le bassin. Jesse est alors sauvé de la noyade par Willy. Une solide amitié née entre le cétacé et le garçon…
Bon je pense savoir parmi mes amies, laquelle ne doit pas aimer ce film… Et oui même si ce film prône la liberté des animaux et la fermeture des parcs animaliers, l’épaulard qui joue le rôle de Willy, appelée Keiko, a passé quasiment toute sa vie en captivité… 
Ceci dit, ce film, extrêmement réussi, a suscité beaucoup d’émotions. D’ailleurs, une association baptisée “free willy” a réussi à obtenir un énorme paquet d’argent pour permettre la remise en liberté de keiko après son troisième long métrage. L’opération s’avéra extrêmement difficile après 20 ans de captivité… Cependant, Keiko arrive enfin à intégrer un groupe d’orque au large de l’islande !
Depuis toute petite, mon animal préféré était l’orque. Du coup, je n’arrive pas à me souvenir si j’ai vu sauvez willy avant d’être fan des orques ou l’inverse ! M’enfin, c’est pas vraiment vraiment important ! Toujours est il que ce film était un fantasme pour moi ! Pouvoir être ami avec une orque, pouvoir nager avec elle etc etc ! Bon dis comme ça, ça donne l’impression que j’ai 5 ans ! Mais depuis ces films, une réelle passion pour les animaux et notamment les animaux marins, est née.
Je sais que ce film n’est pas parfait, mais il est pleins de bons sentiments qui quand on a 10 ans, vous marque ! Du coup, même si le film est un poil… niais, je ne me lasse pas de le regarder !
Petit plus de ce film : la présence de Michael Madsen dans ce film pour enfant, toujours aussi bon acteur et une musique qui accentue encore plus l’émotion du film !
Et même si souvent l’expression “sauvez willy”, se transforme en une comparaison d’un 36 tonnes affalé sur un canapé, allez voir ce film ! Il est vraiment vraiment vraiment bien ! ^^

Demolition Man – 5/5

Parmi tous les films de bourrins que j’ai eu la chance de voir et que j’ai aimé, il y en a un qui, pour le coup, porte drôlement bien son nom ! 
DEMOLITION MAN !
Quand tu vas voir ce film, tu sais déjà à quoi t’attendre, ça c’est indubitable ! MAIS, ce film a été fait en 1993 ! Ce qui le classe dans la catégorie des films de bourrins à tendance humoristique ! On casse des murs, des voitures, des gueules mais avec un petit calembour à la clé !
Un p’tit mot sur l’histoire quand même ! Parce que oui ! Il y a une histoire !
En 1996, John Spartan (Sylvester Stallone), un flic à la réputation de bulldozer anticriminel, traque Simon Phoenix (Wesley Snipes, énormissime dans ce rôle !), le roi des psychopathes ! Simon a pris en otage une trentaine de personne dans un immeuble et a décidé de tout faire péter ! John Spartan est envoyé pour régler le problème, mais là petit souci, Simon lui fait un léger coup de pute (jargon policier de l’époque !). Il lui fait croire que les otages ne sont plus dans l’immeuble et fait sauter l’immeuble… Là où ça se gâte c’est quand on retrouve 30 corps dans l’immeuble !
Simon est finalement arrêté mais le mal est fait… Du coup, John Spartan est lui aussi arrêté ! Tous les deux sont cryogénisés (normal !) pour une longue période (70 ans pour Spartan… et ouais, ils rigolent pas là bas !) pendant laquelle ils sont sensés subir un lavage de cerveau qui les fera devenir d’honnêtes citoyens…
Seul point noir à l’horizon, Phoenix est libéré plus tôt que prévu (2032) mais ne semble avoir rien oublié de sa psychopathie… Il commence à semer le chaos dans la mégacité qui est devenu pacifique entre temps ! En effet, le dernier meurtre remonte à septembre 2010…
La police de 2032, horde de bisounours en tenue de policier ne sait pas comment réagir face à temps de violence… Une des policière/bisounours, passionnée des années 90, décide de décongeler John Spartan : Soigner le mal par le mal ! Au grand maux, les grands moyens ! Et puis qui vole un oeuf, vole un boeuf ! M’enfin là je m’égare un peu ! Bref… Spartan est décongelé après 36 ans de détention…
Il se met alors à la recherche de son ennemi juré ! Il est accompagné des deux meilleurs agents de police, interprété par Sandra Bullock et Benjamin Bratt ! Ces deux “policiers” sont aussi niais l’un que l’autre et donne du fil à retordre à ce pauvre Spartan !
Je ne vous raconterai pas la fin, même si je pense que tout le monde la connait !
J’aime ce film et je dirai même plus ma chère Knout, je l’adore ! Pour une fois, je ne ferais pas de litanie sur la musique car elle est accessoire dans ce film. Sylvester Stallone est juste exceptionnel puisque pendant sa cryogénisation, il a eu un programme de réinsertion très particulier, à base de TRICOT ! Donc, Spartan est devenue une couturière ! Schwarzenegger est devenu président ! Les restos sont tous devenus des pizza-hut ! Les groupes de musiques ont disparus et les seules musiques que les citoyens écoutent, sont des slogans publicitaires… Sandra Bullock et Benjamin Bratt se mettent à chanter le jingle de “géant vert”… Stallone les écoute, effaré et du coup lâche cette phrase mémorable “putain qu’on me refoute au frigo !”. Autre point important, les gros mots sont justes interdits et tu te prends une amende dès que tu en dis un ! C’est bien dommage pour Spartan qui a pris gros-mots première langue au collège et au lycée ! Le papier toilette n’existe plus… vous me direz mais pourquoi rentre t-elle autant dans le détail ?? Mais encore une fois, je fais ce que je veux !!!!!!!!!!!!! Et puis, quand il se rend compte que le papier toilette n’existe plus, Spartan pique une crise et c’est juste magique !!!
Voici le lien pour cette scène ! http://www.youtube.com/watch?v=s9U9Hm5Mn6U
Le contact physique est également proscrit… Il ne se sert plus la main, il se dise bonjour à la pocahontas en rajoutant “Paix et Félicité, Citoyen ! Soyez heureux !!!”.
Quand je vous dis qu’il s’agit d’une société de niais ! Et ils ne font plus l’amour physiquement mais mentalement ! C’est subtil !
Tout ça pour dire que ce film est une perle pour ce qui est du choc des cultures : quand les bisounours rencontrent les bourrins !
Je terminerai cette critique par une liste de citation qui vaut son pesant de cacahuète !
Mais avant tout, Soyez heureux !
« Tu vas regretter ça le restant de ta vie, c’est à dire deux secondes ! (Spartan) »
« – Soyez heureux(un citoyen)
– Soyez enculé (Spartan) »

« – Paix et félicité. Voyons, qu’est ce qui provoque votre émoi ? (un citoyen)
– Mon émoi… heu… combien tu pèses ? (Phoenix)
– Et bien je pèse 70… haaaa ! (un citoyen qui vient de traverser une vitre avec l’aide de phoenix !) »

« – La fondation Schwarzenegger ? (Spartan)
– Oui, la fondation du président Schwarzenegger. Ce n’était pas un acteur quand vous… (Huxley alias Sandra Bullock)
– Me dites pas qu’il a été président ? (Spartan)
– Si. N’étant pas natif du pays il n’aurait pas dû l’être mais sa popularité était telle qu’un 61ème amendement a été voté… (Huxley alias Sandra Bullock)
– Ah, je veux pas le savoir… Pfff… Président… (Spartan) »

« Je vais le remettre au rayon surgelés. (Spartan) »
« Freine ! Freine ! FREINE PUTAIN D’CAISSE DE MEEEEERDE ! (Spartan parlant à sa voiture complètement automatisée…) »
« – Ça fait 40 ans que je rêve de te tuer ! (Spartan)
– Ah ouais ? Ben continue de rêver… (Phoenix) »

« John Spartan, vous avez une amende d’un crédit pour infraction au code de moralité du langage. (Automate chargé de délivrer les amendes dues aux gros mots, principalement à Spartan d’ailleurs ^^) »